Epistrophies, Jazz and the Literary Imagination

Harvard University Press

2017

1 volume (320 pages) ; Illustrations en noir et blanc

25 cm

anglais

978-0-674-05543-8

From its inception, African American literature has taken shape in relation to music. Black writing is informed by the conviction that music is the privileged archival medium of black communal experience--that music provides a "tone parallel" (in Duke Ellington's phrase) to African American history. Throughout the tradition, this conviction has compelled African American writers to discover models of literary form in the medium of musical performance. Black music, in other words, has long been taken to suggest strategies for writerly experimentation, for pressing against and extending the boundaries of articulate expression. Epistrophies seeks to come to terms with this foundational interface by considering the full variety of "jazz literature" -- both writing informed by the music and the surprisingly large body of writing by jazz musicians themselves.
Depuis ses débuts, la littérature afro-américaine s'est structurée en relation avec la musique. L’écriture noire s’appuie sur la conviction que la musique est le support d’archives privilégié de l’expérience communautaire noire – que la musique fournit un « ton parallèle » (selon l’expression de Duke Ellington) à l’histoire afro-américaine. Tout au long de la tradition, cette conviction a poussé les écrivains afro-américains à découvrir des modèles de forme littéraire à travers la performance musicale. En d’autres termes, la musique noire a longtemps été considérée comme suggérant des stratégies d’expérimentation littéraire, pour repousser et étendre les limites de l’expression articulée. Epistrophies cherche à accepter cette interface fondamentale en considérant toute la variété de la « littérature de jazz » – à la fois les écrits inspirés par la musique et le corpus étonnamment important d’écrits des musiciens de jazz eux-mêmes.

Ressources documentaires

Musée national Picasso-Paris